MUSÉE ALBERT KAHN
BOULOGNE BILLANCOURTSOUND DESIGN DE L’EXPOSITION PERMANENTE
Création sonore pour 6 modules interactifs et création visuelle
Métamorphoses
installation du parcours permanent dans les serres du Jardin Albert Kahn
Les Archives de la Planète
Cette installation présente une partie de la collection d'autochromes. La mise en son de l'espace donne à entendre un voyage abstrait dans les idées principales de l'installation.
>musée-Albert-Kahn.fr
Construit à la fin du XIXe siècle par Albert Kahn, un banquier philanthrope fou de voyages, ce site de 4 hectares mêle forêts vosgiennes, jardins anglais et français, roseraie et village japonais. Il permet de voir quelque 72.000 autochromes, des photos en couleur, toutes restaurées au long des vingt dernières années. Un fonds documentaire unique de Chine, Inde ou Mongolie notamment.
La finition de la nouvelle aile, par laquelle s’effectuera l’entrée, et les aménagements intérieurs vont nécessiter encore des mois d’interventions. Le Conseil Départemental des Haut de Seine prévoit d’ouvrir l’équipement neuf au public en septembre 2021. En pénétrant dans l’extension, les visiteurs pourront admirer la collection permanente, forte de 72000 images léguées par Albert Kahn, le banquier qui rêvait d’amitié entre les peuples grâce à la connaissance mutuelle des environnements et des cultures.
“ Albert Kahn a créé les Archives de la planète, mémoire vivante de la cinquantaine de pays visités par ses opérateurs entre 1910 et 1931 en 72000 autochromes et 180000 mètres de films. ”
Les 2 300 m2 supplémentaires offrent un espace bienvenu pour mettre en valeur le premier fonds mondial d’autochromes.
Production : Atelier 144 - Marc Benaïche, Emmanuelle Conso
Scénographie : Scenorama
187.75 Hz
MUSIQUE ET SOUND DESIGN - THÉÂTRE (en cours)Texte, mise en scène et interprétation de Lorelyne Foti
187,75 Hz est la fréquence d’un son, un son émis par une voix.
C’est l’histoire de cette voix qui tente de se raconter et d’exister à l’intérieur d’un corps et du monde qui l’entoure. Instrument vivant de phonation, d’expression, d’émancipation, aussi bien que de manipulation, d’appartenance ou de lutte, qu’est-ce qu’avoir une voix ?
187,75 Hz est un projet qui s’inscrit dans le cadre d’un laboratoire de recherche artistique de la Cie Ultreia autour d’une réflexion portée sur la voix. Il consistera à donner forme aux fréquences et aux résonances de voix plurielles qui nous traversent, comme la métaphore de la relation à soi et aux autres.
Il s’agira également de questionner cette notion polysémique de la voix, avec tout ce qu’elle comprend en elle de silence, d’empêchement, d’identité, de transmission, de codes sociaux, d’enjeu politique ou encore de dimension collective. Cette création mêlera une écriture à la fois poétique et théâtrale, dans une approche pluridisciplinaire conjuguant texte, corps, voix, son et science.
La forme empruntera à la performance, à travers un dispositif scénique immersif, spacialisant le son, les lumières et les projections numériques.
Collaboration artistique : Jean-Yves Ruf
Création son : David Daurier
Création lumière : Sylvain Séchet
Scénographie : Grégoire Faucheux
Création numérique : Benjamin Kuperberg
Création en Automne 2021
TRUST
MUSIQUE ET SOUND DESIGN - THÉÂTREUne pièce de Falk Richter
Traduction : Anne Monfort
Mise en scène, adaptation et chorégraphie : Lorelyne Foti
1. Trust (nom masculin) : Entreprise très puissante qui détient le monopole sur un secteur d’activité et qui influence les lois du marché.
2. Trust (verbe) : Faire confiance.
A une époque où nous sommes constamment incités à produire plus, à consommer plus, à se vendre plus, la crise économique se transforme en crise de confiance, affecte nos relations et ébranle nos rêves d’avenir. Cette pièce explore nos comportements sociaux et relationnels dans un système économique au bord de l’effondrement. Elle interroge notre valeur intrinsèque, nos points de repères et la porosité des sentiments au-delà des rapports monnayés ou intéressés : par où aller pour avoir encore confiance?
Un travail vocal, musical et chorégraphique pour donner à entendre un texte qui nous confronte à ce qui nous conditionne et à cette quête de l’être au-delà de l’avoir.
Auteur contemporain allemand incontournable, Falk Richter dépeint de façon corrosive notre système social, politique et financier. Ses pièces sont traduites dans plus de 30 langues et sont jouées sur de nombreuses scènes nationales et internationales renommées.
« Avant je voulais changer le monde
et puis j’ai oublié ce que je voulais.
Avant je voulais changer le monde
jusqu’à ce que je réalise ce qu’est vraiment le monde.
Avant je voulais tellement changer le monde que je n’ai jamais arrêté.
Avant je voulais changer le monde,
j’ai commencé à tellement changer que j’ai oublié qui j’étais. »
Création lumière et régie générale : Sylvain Sechet
Création son : David Daurier
Création numérique : Benjamin Kuperberg
Scénographie : Grégoire Faucheux
Avec : Sarah Auvray, Fabrice Cals, Milena Sansonetti, Clémence Viandier et Nicolas Vial
Production : Cie Ultreia
Accompagnement à la production : Le Bien Commun – Jacques Boura
Coproduction : CC de l’Ouest Vosgien
Avec l’aide à la création : Conseil Départemental des Vosges, Conseil Régional Grand Est et la Spedidam.
Soutien à la création – Résidences : Le Trait d’Union à Neufchâteau; Bord 2 scènes, scène conventionnée de Vitry-le-François et le Relais Culturel de Thann.
PETITE SOEUR
SOUND DESIGN - THÉÂTREPetite Sœur c'est l'histoire d'un petit garçon qui rêve d'aller au bord de la mer tout seul et qui pour y parvenir, brave l'autorité parentale. Le spectateur est plongé dans l'esprit de l'enfant, sa manière de ressentir le monde qui oscille entre une violence et une douceur extrêmes.
La pièce est d'une richesse telle, qu'elle réussit en permanence à décrire le caractère ambivalent du réel : la curiosité et la peur suscitées par l'inconnu, la tendresse des liens fraternels et le sentiment de solitude, le besoin d’appartenir à quelque chose de plus vaste que soi-même et l’incompréhension provoquée par les autres.
La Compagnie Rêve Mobile présente Petite soeur de Jon Fosse
Jeu et mise en scène : Béatrice Venet
Chorégraphie : Julien Gallée-Ferré
Oeil extérieur : Didier Boulle
Scénographie et manipulation : Cassandre Boy
Régie son et lumières : Marinette Buchy (en alternance avec Cyril Berthet)
Création lumières : Félix Bataillou
Création sonore et vidéo : David Daurier
Montage : Clément Fessy
avec le soutien de la DRAC Île-de-France, Ville de Paris, Théâtre Dunois (Paris), Spedidam, Maison de la Musique (Nanterre), TAG (Grigny), Association Accès culture et citoyenneté, Centquatre - Paris, Scène Watteau – Nogent-sur-Marne, Théâtre de la loge-Paris
MIRACLE EN ALABAMA
MUSIQUE ET SOUND DESIGN - THÉÂTREUne pièce de William Gibson
Traduction Marguerite Duras & Gerard Jarlot
Une pièce basée sur l’autobiographie d’Helen Keller, une enfant sourde aveugle et muette.
Nous sommes en 1887 en Alabama, un Etat du Sud des Etats-Unis. Une jeune préceptrice, Annie Sullivan, arrive chez les Keller pour tenter d’éduquer l’enfant qui n’a alors aucun moyen de communiquer avec ses proches ou le monde extérieur. Malgré les hostilités d’Helen et de sa famille face à ses méthodes, Annie luttera avec détermination et acharnement pour percer cette bulle noire, silencieuse et isolée où est terrée cette enfant. Une histoire vraie qui, au delà du handicap et des mots, nous livre tout l’enjeu de l’éducation : l’éveil de la conscience.
Adaptation et Mise en scène : Lorelyne Foti
Assistant à la mise en scène : Nicolas Lyan
Création lumière : Sylvain Sechet
Création son : David Daurier
Création numérique : Benjamin Kuperberg
Création costumes : Giuseppa Orlando
Avec
Clémence Viandier : Helen Keller enfant
Amandine Rousseau : Annie Sullivan
Delphine Musch : Kate Keller
Matyas Simon : Capitaine Keller
Arthur Conesfroy : James Keller
Nicolas Lyan : Docteur et Professeur Anagnos
Caroline Benassy : Tante Eve
Monica Companys : Helen Keller adulte
LE PEUPLE DE L’HORLOGE
MUSIQUE POUR LONG MÉTRAGEde Hicham Lasri
« Dans la vie, il y a deux types de personnes : ceux qui ont un rêve et ceux qui n’ont rien. Dans la première catégorie, il y a ceux qui poursuivent leurs rêves et ceux qui les abandonnent ».
Au beau milieu d’une fête de mariage où il officie comme chanteur, Daoud réalise qu’il n’a plus de rêve, celui de devenir un vrai artiste, une star. Mécontents que la musique s’arrête, les convives l’assomment avec une chaise avant de foutre le bordel. Cette chute n’est que la première dans la longue trajectoire de déchéance de Daoud...
Le peuple de l’horloge est le troisième segment des « Chroniques du Maroc » entamées par L’os de fer et TiphinaR.
scénario & réalisation : Hicham Lasri
année de production 2007
avec salah bensalah - Koman - hassan badida - Jaouad Essounani -Hassan Allioui - Najia Fettah
une production Ali n Production - SNRT
dans le cadre de la film Industry
produit par Nabil Ayouch
TIPHINAR
MUSIQUE POUR LONG MÉTRAGEde Hicham Lasri
long métrage
Hicham, un jeune archéologue, est confronté à sa propre schizophrénie dans un village hanté par son passé. Leila, jeune journaliste, cherche a découvrir avec lui le mystère qui se cache derrière une légende. Entre fantômes du passé et ectoplasmes du présent, c'est la traversée du désert pour Hicham.
une production Ali n Production - SNRT -
dans le cadre de la film Industry
produit par Nabil Ayouch
PROMENADE SONORE
LOVAGNYExtraits d'une promenade sonore conçue en 2009
Le chemin où avait lieu la balade s'appelle le Chemin des Fées à Lovagny en Haute-Savoie.
Au début du chemin, les habitants nous parlent de leurs souvenirs de ce chemin. Plus tard, nous entendons des passages lus du journal de bord de Jacques Cartier lors de sa découverte du Québec.
Enfin, comme tout résonne, les territoires inconnus se dévoilent et nous permettent de partir plus loin encore...
Qui aurait pu croire que ce petit chemin nous emmenerait dans un si grand voyage?
Le système de diffusion de la balade était de 8 enceintes reparties sur le chemin dans une composition en temps réel. Une sculpture sur le chemin permettait d'enregistrer les messages des passants et de composer avec.
Conception : David Daurier et Colin Idier
Lecture : Julien Coquet
en collaboration avec Musique Inventives d'Annecy.
Au début du chemin, les habitants nous parlent de leurs souvenirs de ce chemin. Plus tard, nous entendons des passages lus du journal de bord de Jacques Cartier lors de sa découverte du Québec.
Enfin, comme tout résonne, les territoires inconnus se dévoilent et nous permettent de partir plus loin encore...
Qui aurait pu croire que ce petit chemin nous emmenerait dans un si grand voyage?
Le système de diffusion de la balade était de 8 enceintes reparties sur le chemin dans une composition en temps réel. Une sculpture sur le chemin permettait d'enregistrer les messages des passants et de composer avec.
Conception : David Daurier et Colin Idier
Lecture : Julien Coquet
en collaboration avec Musique Inventives d'Annecy.
SOUND DESIGN
Mise en son d'une séquence de formation d'un Foetus
SIESTE SONORE
Sieste sonore enregistrée et diffusée à Martigné Ferchaud dans le cadre d'une restitution multipoint.
Nous découvrons le Centre de Taillepied, Ferme pour adultes handicapés située à Martigné-Ferchaud (Ille-et-Vilaine) à travers les oreilles des habitants, de personnes agées, d'enfants.
Merci à Frédéric Robinson pour les parties musicales
SOUND DESIGN
Mise en son d'une vidéo de Goutte d'eau au ralenti.
SOUND DESIGN
Mise en son d'un Poème de John Ashberry
SOUND DESIGN
Mise en son d'une phrase
SOUND DESIGN
Sound Design d'une séquence d'images d'archive muette. Grâce au témoignage d'un homme né le même jour que le navire Ville d'Oran, j'ai pu reconstitué le paysage sonore d'un film.
Merci à Cinémémoires de Marseille, Christophe Folcher.
SOUND DESIGN WEB
Sound Design pour le site Carcéropolis >>> voir le siteCE SOIR LOLA BLAU
SOUND DESIGN POUR PIÈCE DE THÉÂTRETraduction et mise en scène : Maryse Boiteau
Comédienne chanteuse : Lorelyne Foti
Pianiste : Christophe Fossemalle
Création lumière : Sylvain Sechet
Création son : David Daurier
Création coiffure maquillage : Christine Laurent
SOUND DESIGN
Expérimentation lors de recherche de sons pour le musée Albert Kahn